Ma BLYTHE ou "La Théorie De L'Evolution"
Ca y est, j'ai cédé au "Blythe Call" ! A présent, les choses sérieuses commencent! Maquillage, soin des cheveux, fabrication de fringues... Evidemment, je n'y connais encore rien. Mais je suis motivé et c'est tout ce qui compte! Alors en avant !!
Mes Films Cultes: RICKY BOBBY Roi Du Circuit
Sortie en salles: 2006
Will Ferrel tient ici le rôle principal, mais on l'a aussi beaucoup vu dans nombre de seconds rôles particulièrement marquants dans des films tels que "Austin Powers", "Starsky et Hutch", "Zoolander", "Serial Noceurs", "Boat Trip"...
DRAGON QUEST 8 (PS2) - Verdict
Mon avis personnel qui n'engage que moi:
Ce qui me l’a fait acheter :
En tant qu'amateur de RPG japonais sur console, je ne pouvais décemment pas passer à côté de ce monument du genre. Surtout que Dragon Quest 8 est le premier de la série à sortir en France.
Premières impressions :
Bon, alors voici le fameux Dragon Quest ! Le RPG de tous les RPG pour les Japonais, celui qui arrive à exploser la série des Final Fantasy. En parlant de Final justement, il m’apparaît immédiatement que les deux jeux ne jouent pas du tout dans la même catégorie. Je pense surtout à l’aspect graphique pour commencer. N’attendez pas d’effets spéciaux qui tuent sa maman, de persos aux designs de beaux gosses, de cinématiques qui vous fracassent les mirettes. Dragon Quest, lui, joue la carte de la dérision avec des designs rigolos voire grotesques, et une ambiance bon enfant pour le moins attachante. Le jeu reste beau, et ça n’est pas une surprise quand on sait que le studio Level-5 (Okami, Dark Chronicle, Rogue Galaxy…) en est le développeur. Les designs de Akira Toriyama rendent les personnages terriblement attachants. La bande son du jeu (orchestre symphonique, s’il vous plaît) est de toute beauté, et participe à rendre l’expérience encore plus immersive.
Bon, j’ai quand même du mal à me remettre au système de combat au tour par tour. Et puis je trouve que l’interface du jeu n’est pas toujours très pratique. Mais on se laisse prendre au jeu, et on a hâte de découvrir ce que nous réserve la suite de l’aventure…
Après 136 heures de jeu :
136 heures, c’est le temps qu’il nous a fallu pour finir le jeu. Ce fut une expérience formidable que nous ne sommes pas prêts d’oublier. Dragon Quest 8 fait indéniablement partie des références en matière de RPG sur console. Il n’est pas exempt de défauts, dont certains surprennent tant ils contrastent avec le savoir-faire évident qui se dégage du jeu. Il offre cependant une aventure immersive et captivante d’un bout à l’autre, et c’est ce qui manquait à mon sens aux derniers RPG auxquels il m’avait été donné de jouer. De ce côté-là, j’ai été comblé. Dommage qu’il lui manque ce soupçon d’originalité qui aurait pu le rendre génial, surtout aux yeux de joueurs plus expérimentés qui en ont déjà vu d’autres.
Ce que j’ai aimé :
Dragon Quest 8, c’est d’abord et surtout une formidable aventure prenante et parfaitement rythmée. Je ne me suis pas senti trop guidé, et il m’est même arrivé de ne plus savoir comment avancer. L’univers est vaste et propice à l’exploration. Les graphismes ne paient pas trop de mine au premier abord, mais on est souvent émerveillé par la profondeur de champ des décors. Les musiques symphoniques du jeu sont tout bonnement magnifiques (mes préférées sont celles du « Château de Trodain » et des voyages en bateau.) Les doublages (certes en Anglais) sont excellents et le second degré omniprésent (notamment dans les dialogues) contribue à dédramatiser certaines situations.
La bonne gestion de la difficulté fait que l’on craint souvent pour sa vie sans pour autant se trouver désemparé. Cela donne lieu à des combats épiques inoubliables et remplis d’émotion (notre affrtontement avec Dhoulmagus restera à jamais dans nos mémoires.) Nul besoin de leveling poussé pour finir le jeu. On se concentre ainsi beaucoup plus sur l’intrigue. On rame constamment pour gagner quelques piécettes, et le prix des articles en magasin flambe assez vite. Mais je trouve que cela donne plus de valeur aux objets et plus de piment à l’aventure. Et puis, le système de fabrication d’objets du jeu est là pour nous éviter de trop se ruiner dans les boutiques.
Un autre point sur lequel la vie du joueur n’est pas facilitée est le système de sauvegarde. Dans Dragon Quest 8 on ne sauvegarde pas n’importe où. Il faut d’abord se rendre dans une église (il n’y en a pas dans les donjons) pour pouvoir se « confesser. » La démarche est fastidieuse. Mais le concept permet d’accroître la sensation de danger chez le joueur, qui devra parfois sortir d’un donjon avant d’être arrivé au bout afin d’effectuer sa sauvegarde. D’autant qu’ici, on ne distribue pas les « Queues de Phoenix » (cf. « Final Fantasy ») comme des petits pains.
Ce que j‘ai moins aimé :
Les menus ne sont absolument pas pensés de façon pratique. Une multitude de manipulations peut être requise pour organiser son inventaire.
Les temps de chargement sont parfois trop longs en particulier pour accéder au menu de fabrication d’objets ou dans d’autres situations que je ne veux pas vous spoiler.
Il est impossible de faire défiler la carte du monde en mode zoom. C’est un sacré handicap, puisqu’on ne peut jamais savoir à l’avance où l’on se dirige.
Les personnages rencontrés à l’extérieur des donjons se ressemblent tous (à l’exception, je vous rassure, des personnages clés.)
Le design des monstres manque d’efficacité à mon goût (hormis certains comme les gluants.)
L’animation des personnages, en particulier lors de combats, est beaucoup trop limitée.
Le héros a autant de charisme qu’un poulpe sous somnifères.
Dans les combats, il est impossible de savoir dans quel ordre exact les protagonistes vont agir. Le score d’agilité peu vous aider dans ce sens, mais il ne constitue en aucun cas un élément fiable. Cela peut s’avérer un problème de taille, donnant lieu à des situations particulièrement frustrantes pour le joueur.
La trop grande fréquence de combats aléatoires dans certaines zones peut s’avérer frustrante, en particulier lors de longues séances d’exploration à l’extérieur des donjons.
En conclusion :
Dragon Qest 8 est l'un des meilleurs RPG auxquels il m'ait été donné de jouer. Ce qui ne gâche rien c’est qu’il est passé en « platinum » et qu’on peut le trouver aujourd’hui à un prix très attractif.
BONNIE PINK - album: "Let Go"
C'est le quatrième album de Bonnie Pink, sorti en 1999. Je trouve que cet album se démarque des autres, antérieurs ou postérieurs. Serait-il un peu plus intimiste? Quoi qu'il en soit, il s'en dégage une ambiance particulière qui en fait sans aucun doute l'un de mes albums préférés de Bonnie Pink. (Cliquez sur les liens ci-dessous pour écouter l'extrait)
01- Sleeping Child
02- Fish
03- Trust
04- Reason
05- Kako To Genjitu
06- Tears For Leo
07- Call My Name
08- Run With Yourself
09- Shine
10- Shadow
11- Rumblefish
12- You are Blue, So Am I
13- Refrain
Site officiel de Bonnie Pink: http://www.bonniepink.jp/
NANIWA-YA - Paris
11 rue Ste Anne
75001 PARIS (M° Pyramides)
Mon avis personnel qui n'engage que moi:
jour 1
Descriptif:
Restaurant japonais tenu par des Japonais. Ici on mange très bien pour pas cher! Menus à 10€ avec Udon en soupe ou soba à tremper, porc pané et riz aux légumes. La cerise sur le gateau: thé vert à volonté! J'aurais pu mettre la note maximale car la cuisine était vraiment délicieuse, mais j'ai trouvé le riz un peu trop cuit.
Mes Films Cultes: SUPER NACHO
Sortie en salles: 2006
Réalisé par Jared Hess (responsable du fameux "Napoleon Dynamite" en 2004) le film est inspiré d'une histoire vraie, celle de Fray Tormenta, un véritable prêtre Mexicain ayant suivi une carrière de Luchador ("catcheur Mexicain") dans le but de venir en aide à l'orphelinat dont il avait la charge.
AIKO - album: "Akatsuki No Love Letter"
C'est le cinquième album d'Aiko, sorti en 2003. L'artiste semble avoir muri, sa voix se fait plus douce mais son style reste le même. Voici encore un bel album avec en prime un joli livret à l'intérieur. (Cliquez sur les liens ci-dessous pour écouter l'extrait)
01- Netsu
02- Kare no rakugaki
03- Andromeda
04- Fureteitai
05- Yume no dance
06- Chocho musubi
07- Line
08- Boshi to mizugi to suiheisen
09- Subete no yoru
10- Eriashi
11- Shiroi fuku kuroi fuku
12- Kazeoki
13- Ama no gawa
Site officiel de Aiko: http://aiko.can-d.com/